vendredi 27 novembre 2009

Great Victorian Bike Ride 2009

Trois mois après avoir pédalé sur la Great Ocean Road, je rejoins l’équipe des volontaires sur la Great Victorian Bike Ride 2009, a week in another world.

Manifestation annuelle, 5000 participants de tout âge, dont 500 volontaires et une organisation qui roule superbement.
Chaque jour, petit-déjeuner copieux servi entre 6 et 8h30. Les participants partent au fur et à mesure sur la route marquée et sécurisée par les volontaires les plus matinaux (4h30), d’autres démontent les tentes, mettent les bagages dans les camions, tout est mis dans les containers (cuisine, chapiteaux, tables, chaises…), les douches et toilettes mobiles prennent la route, et vers 9h, des bus emmènent les volontaires au prochain campement de la ville d’arrivée, pique-nique sur place pour les volly, sur la route pour les bikers.

Great Victorian Bike Ride 2009

On a tous dans la poche le carnet de route, qui permet aux cyclistes de tout savoir sur le parcours, combien de km, les difficultés, les plans et où s’arrêter pour profiter des meilleurs spots.



Chaque jour, le trajet oscille entre 50 et 100km, avec un day-off après la plus dure étape.
Dans le nouveau camp (camping, grand terrain d’herbe municipal, aire de séjour…) tout est remonté, des activités sont organisées dans l’après-midi, tourisme dans les alentours… boutique accessoires vélo, photos prises durant la journée, café, glaces, radio du tour, réparation vélo, masseuses et docteurs à l’attention des cyclistes. Dîner entre 17 et 19h30 où le bulletin du programme de la journée suivante est distribué. La nourriture est très bonne, ça me change des noodles. Puis soirée, souvent un groupe de musiciens du coin qui se produit sous l’auvent principal. Et à 22h, ça se termine : tout le monde va gentiment retrouver sa tente, ce qui n’est pas une mince affaire car il y en a des milliers, elles se ressemblent toutes, et si le vent ne les a pas faites tombées.

Great Victorian Bike Ride 2009

Ouvrières dans la fourmilière, on assure avec ma work mate de Taiwan la distribution de thé, café et chocolat en poudre (Milo !), sucre et lait, remettant à niveau les box self-service, nettoyant le Milo qui s’envole et colle partout la table. Notre shift : 7 à 9 le matin, 19 à 22h le soir, ce qui nous laisse temps libre toute la journée. D’autres y sont dès 5h ou en début d’aprèm.

Il y a les fourmis qui montent et démontent les tentes, celles qui servent les repas, qui organisent les campements… Un ou deux par tente attribuée au départ, et toute une armada fédératrice d’objets utilitaires aux couleurs de GVB. On a tous une carte autour du cou avec prénom et qu’est ce qu’on fait là, la couleur de la cordelette démarquant les volontaires des cyclistes.
Un nombre limité de volontaires a pu s’inscrire en tant que cyclistes et rouler avec les riders mais pour les autres volontaires en manque, des vélos sont mis à notre disposition pour profiter des environs.
Et ça c’est bien.







Les trois premiers jours ont été pluvieux et sinon du vent sans arrêt. Ensuite le soleil… et tout le monde l’apprécie plus ou moins bien, beaucoup de peaux rouges et peaux de serpents.

Enfin, j’ai pu profiter beaucoup plus cette fois-ci ! Coucher de soleil sur les 12 apôtres (qui ne sont plus que 6), les belles plages de Port Fairy et Apollo Bay, carrément se baigner et se manger des vagues à Anglesea…

Great Victorian Bike Ride 2009

Et puis j’ai eu la chance de discuter avec des vrais Australiens, la plupart de Melbourne et des environs (le café est la meilleure place niveau rencontre et conversation).


Parmi les volontaires, quelques backpackers comme moi et des jeunes internationaux venus à Melbourne pour étudier, ce qui constituait une joyeuse petite bande pour sortir et partager expériences, bières, et récits de voyage une fois le stand café tout propre et prêt pour le jour suivant.

mercredi 25 novembre 2009

Sydney

Trop heureuse ! C’est l’été ! Juste une nuit puis le lendemain je plane encore pour… Melbourne !

dimanche 22 novembre 2009

Kaikoura

S’il faut prendre le large pour observer les dauphins, se balader le long des côtes de Kaikoura suffit pour apercevoir de près des otaries.
















La montagne en fond, la plage parsemée de bois flotté (confisqué par la douane australienne, so bad…), jeux de nuages et coucher de soleil enflammé clos ce séjour d’un mois et demi au pays des kiwis.

vendredi 20 novembre 2009

Akaroa - banks Peninsula

Enclave francophone à 1h30 de Christchurch, Akaroa village se situe au milieu de la péninsule de Banks, formée par deux anciens volcans.